lundi 8 août 2011

"La Bourse j'en ai rien à cirer", Forte baisse de Cac 40 à -4%

A ce jour de la forte chute de la bourse, CAC 40 à -4%, que les Présentatrices/Présentateurs iTélé ou BFM TV parlent d'une voie pleurante, en annonçant un Lundi Noir, comme si la Fin du Monde arrive, Chinetoque se rapelle de la Première Ministre Edith Cresson de 1991-1992, pendant son mandat elle a déclaré:
1. « La Bourse j'en ai rien à cirer » ;
2. « Les Anglais tous homosexuels ».
3. « Les Japonais qui travaillent comme des fourmis » ;
Source photo: Wikipédia.



Elle a oublié de citer les Chinois un peu jaloux.... ils travaillent aussi comme les fourmis.

Sur la première clause, les Français devraient suivre cette sagesse féminine hors paire.
En risquant d'attraper la deuxième étiquette rose à force d'effort de la propagande médiatique quotidienne et effrénée, la troisième clause, quant à elle, risque de s'imposer sur la tête des enfants de la belle terre gauloise, avec la cause connue déjà à ce jour: dette publique.

Je ne peut qu'admirer la prévoyance de cette dame éminente et courageuse.

En France les dirigeants de la Droite sont scotchées sur la Bourse, pour leur propre intérêt, leur propre action. La Gauche Sociale est généralement attachée à la Bourse, souvent grand capitaliste, pour gagner de l'argent en jouant, en spéculant, au lieu de baser sur le travail comme Karl Marx préconise, afin de travailler moins tout en vivant richement.

Il n'y a que Mme Edith Cresson, une dame intelligente, qui soit détachée de la bourse en France. En effet, pendant la période de Mao, la spéculation est complètement interdite, afin de garantir la stabilité des prix. Deng Xiaoping a ouvert la fenêtre de la spéculation modérée. En économie occidentale de ce jour, il n'y a plus que la spéculation qui compte. Le travail des artisans, des ouvriers, des paysans, des vignerons ne compte que pour du beurre: pas encouragé, même puni souvent par la haute cotisation sociale...

Pour les Français, il est urgent d'avoir un dirigeant aussi détaché de la Bourse, ne plus dépenser de l'argent public, donc par emprunt, pour sauver la bourse. On s'en passe de la bourse, on s'en occupe pas, on s'occupe des PME, PMI qui créent la richesse, qui embauchent vraiment localement qu'en France. Au pire des cas, il y a la BCE pour imprimer les billets Euro pour payer les frais sociaux, même toutes les banques craquent.

Chez les Fourmis, les Chinois, par exemple, ce sont des dizaines de millions de petites entreprises qui créent la richesse de l'empire du milieu qui reprend de l'allure ces jours-ci.

La ligne d'Edith Cresson est prouvée juste: depuis 1991, presque 20ans déjà, on s'occupe sans cesse de la bourse, notamment en 2009, on a emprunté massivement pour sauver les spéculateurs, banquiers de la craque boursière. Il n'y a aucun bon résultat pour le peuple Français: pas de croissance, pas de baisse de chômage, ...

Tout l'argent dépensé est parti en fumée, il n'y a que la dette nationale demeure, même grandit... qui pèse sur le Travail des Français.

Pour une fois on s'en tape de la bourse, restez zen et joyeux même pendant la crise boursière! Il y a que la santé qui compte, le reste... Pour ceux qui ont des actions boursières, elles vont remonter, patience, patience... Pour ceux qui n'en ont pas, on se réjouit: vous n'êtes pas perdant, ce n'est quand même pas les mêmes qui gagnent tous les coups et tous les jours en spéculant sans sueur ni blessure!






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